Qui sommes-nous ? et historique

Le Pèlerin d'Arès est un être qui a pris conscience que le monde doit changer pour une vie meilleur, qu'il n'y ait plus de guerre, de misère... Il a choisie, l'ayant découvert, de s'attacher au Message d'Arès qui répond à ses aspirations. Dès lors, à l'aide de l'enseignement du témoin du Signe ou de la Révélation d'Arès Michel POTAY, appelé Mikal par le Créateur, il s'engage dans la voie de la pénitence – qui est d'aimer son prochain, même ses ennemis, de pardonner, de faire la paix, de ne pas juger, de se libérer des préjugés en cultivant l'intelligence du cœur – et dans celle de la moisson.

 

La pénitence qui est d'aimer son prochain, de pardonner, de faire la paix, de se libérer des préjugés, se trouve dans le « Sermon sur la Montagne », (Nouveau testament, Matthieu chapitres 5 à 7).

 

La moisson a pour but de chercher des frères (Le signe ou la Révélation d'Arès I/15), des épis murs comme les définit le prophète, c'est-à-dire, des êtres qui ont des aspirations de bien, de justice et veulent que le monde change (Le signe ou la Révélation d'Arès 28/7).

Dans la revue Changer des Pèlerins d'Arès (numéro 1 hors série), dans l'édito, les pèlerins d'Arès indiquent que l'appel à changer est "un appel de conscience".

"... notre but n'est pas de convertir mais d'aider à libérer les consciences. Tout cela a donc plus à voir avec l'amour et le coeur qu'avec la raison "raisonnantes"." 

Ainsi, les Pèlerins d'Arès ont pour visée absolue que le monde retrouve le bonheur originel. Ils ont foi dans l'identité spirituelle de l'homme, créé à l'Image et Ressemblance du Créateur de l'Univers dont ils partagent les dons d'Amour, de Liberté, de Parole, de Créativité et d'Intelligence. C'est cette identité spirituelle qu'ils souhaitent réveiller dans tout homme qui les écoute. Leur intime conviction : « La Vérité c'est que le monde doit changer » Le Signe ou La Révélation d'Arès 28/7 Pour un avenir heureux :(XIX/22) "L(es) homme(s de)vien(nen)t les frères, (et le monde) le nuage (d')or (où) les nations (s')embrassent, (où) le frère ne vend pas le pain (et) la laine."

Mikal, Michel POTAY, le témoin prophète du Signe ou de la Révélation d'Arès, blog, entrée 17 du 8 avril 2006 :

« Le Message d'Arès appelle les hommes à changer le monde (28/7). "Mégalomanie, s'écrient les grands clercs! Impossible d'accomplir ce projet insensé." Si, c'est possible, répond en substance La Révélation d'Arès, il suffira qu'un humain ici et là (un petit reste) devienne bon (pénitent) et recherche (moissonne) d'autres humains qui accepteraient de devenir bons à leur tour, et ainsi de proche en proche le monde changera en bien. En somme, La Révélation d'Arès rappelle que la bonté est aussi contagieuse que le mal, de sorte que le problème n'est autre que de choisir la première et de renoncer au second.

En un mot, c'est ce que la Parole —les évangiles en particulier —recommande depuis toujours, mais qu'aucune religion n'a accompli.

Le Père de l'univers (Rév d'Arès 12/4), lui, ne fait pas de théologie, n'édite pas de catéchisme, ne distingue pas entre religions et non-religions (Rév d'Arès 25/6), n'est ni chrétien, ni juif, ni musulman, ni bouddhiste, ni rien d'autre. Il n'a rien fait de plus que revenir vers les hommes, tous les hommes, pour les rappeler à la vie spirituelle simplement faite d'amour, de pardon, de paix, d'esprit libre et d'intelligence. De la vie spirituelle seule sortira le bonheur universel jamais retrouvé encore après la grande erreur d'Adam, notre ancêtre (Rév d'Arès 2/1-5).

Qu'appelle-t-on Pèlerins d'Arès, alors, puisqu'il ne s'agit pas de religion ? »

« D'innombrables croyants et incroyants, auxquels le bon sens inspire la Voie du bonheur par la simple vie spirituelle, aspirent à La Révélation d'Arès sans même savoir qu'elle existe. Les Pèlerins d'Arès, eux, sont simplement ceux qui, parmi cette multitude, connaissent La Révélation d'Arès, s'en nourrissent et en répandent la Lumière. La Révélation d'Arès les appelle petit reste ou pieuse gente. »

« Est Pèlerin d'Arès tout humain qui comme Jésus le fit voilà 2.000 ans, met ses pas dans les Pas (Rév d'Arès 2/12) du Père tel qu'il paraît beaucoup plus proche des hommes dans La Révélation d'Arès qu'il n'avait paru dans la Bible ou dans le Coran. »

Blog, entrée 220 du 30 juin 2020 :

Le Pèlerin d'Arès superficiellement observé semble ne pas différer de la religion, qu'elle soit théisme (Judaïsme, Christianisme, Islam, etc.) ou antithéisme (scepticisme et athéisme souvent pratiqués comme des religions), mais vu de plus près le Pèlerin d'Arès apparaît très différent quoique déroutant, parce qu'on ne peut que très rarement, faute de visibilité, dire sous quels rapports.
Le vécu arésien est différent du vécu généralement observé chez les croyants. Le Pèlerin d'Arès sait que ce qui sauve n'est pas croire, mais faire. Le Pèlerin d'Arès n'a ni n'enseigne le moindre dogme. La Révélation d'Arès lui apprend que l'humanité est trop déspiritualisée pour percevoir la Vérité, qui régna antérieurement ou règnera ultérieurement (28/7) au péché, mais qui ne règne pas présentement.

Témoignage d'une Pèlerin d'Arès dans la revue Changer, hors série numéro 1, article "Pèlerin d'Arès résistante" :

Historique :

Introduction de l'édition 2009, extraits :

« 1974, à Arès, petite commune de Gironde maritime, France.

Du 15 janvier au 13 avril, environ un jour sur deux, toujours au milieu de la nuit, je suis réveillé, appelé à un endroit de ma maison éloigné de ma chambre. Là je me trouve face à Jésus, lumineux, mais non spectral, le ressuscité dans son corps entier transfiguré. …

Inattendu est le lieu où Jésus se tient : un chantier dans une maison que je retape en bricoleur. Je vais apprendre que Jésus n'est pas Dieu, qu'il n'est qu'un Messager du Père (32/1-2), mais pourquoi le Père l'envoie-t-il au milieu de matériaux, d'outils, de gravas, à moi témoin peu approprié, homme de foi, mais pas du tout mystique ? »

« 1977.

Du 2 octobre au 22 novembre de cette année là, toujours à Arès, dans une chapelle, bâtie en partie de mes mains, à quelque trente mètres du lieu où apparut Jésus en 1974, le Créateur se manifeste cinq fois dans une extraordinaire conflagration surnaturelle, visuelle et sonore.

On appelle Théophanie ce type de manifestation divine directe. Jésus me l'avait annoncé : Tu pourras dire : « j'ai vu Dieu » (37/3), mais, pour dire vrai, je n'y pensais pas. Ma surprise est totale et mon épreuve est si dure que l'émotion et la perturbation causée presque quatre ans plus tôt par l'apparition de Jésus me semble comparativement douce. »

« La Révélation d'Arès ne fonde pas de religion»